lundi 29 janvier 2007

meetxp forum







merci au membres du forum de m'avoir permis de publier leus posts...

vendredi 26 janvier 2007

Why would anyone want to cry for me?

She is definitely calling me. From somewhere in the Dolphin Hotel. And apparently, somewhere in my own mind, the Dolphin Hotel is what I seek as well. To be taken into that scene, to become part of that weirdly fateful venue.

It is no easy matter to return to the Dolphin Hotel, not a simple question of ringing up for a reservation, hopping on a plane, flying to Sapporo, and mission accomplished. For the hotel is, as I've suggested, as much circumstance as place, a state of being in the guise of a hotel. To return to the Dolphin Hotel means facing up to a shadow of the past. The prospect alone depresses. It has been all I could do these four years to rid myself of that chill, dim shadow. To return to the Dolphin Hotel is to give up all I'd quietly set aside during this time. Not that what I'd achieved is anything great, mind you. However you look at it, it's pretty much the stuff of tentative convenience. Okay, I'd done my best. Through some clever juggling I'd managed to forge a connection to reality, to build a new life based on token values. Was I now supposed to give it up?

But the whole thing started there. That much was undeniable. So the story had to start back there.

I rolled over in bed, stared at the ceiling, and let out a deep sigh. Oh give in, I thought. But the idea of giving in didn't take hold. It's out of your hands, kid. Whatever you may be thinking, you can't resist. The story's already decided.

Titre : Danse, danse, danse
Titre original : ダンス・ダンス・ダンス
Auteur : Murakami Haruki (村上春樹)

Proverbe Africain du soir (3)

"Toi dans la forêt, moi dans la forêt, et tu me demandes où est le soleil ? "

Neil young-don't let it bring you down

à propos du fuck you...

Face à l'inquiétude de quelques personnes, je précise et remet dans le contexte:

Mercredi soir je reçois un commentaire anonyme sur le blog, commentaire Anonyme et assez méchant (surtout con, comme d'hab').
Rien de grave, donc, rien qui ne vaille la peine de bouger. Surtout vu la qualité de l'attaque...
MAIS:
Mon état de nerf à ce moment-là fait que je cherche un image pour exprimer le fond de ma pensée.
Je trouve une image très belle (question de goût) et assez représentative et spontanée de mon état (et oui, c'est ça un blog, non?).
Donc je la publie.
Pas d'inquiétude, juste un peu d'hygiène règlementaire pour passer ses nerfs.

Oui, tout cela vole au dessus de ma tête (tel un torrent de merde sans importance), c'est sûr, mais je n'ai rien contre le défoulement arbitraire et exagéré (surtout quand il s'agit d'une insulte gratuite et anonyme- il n'avait qu'à signer!).

En choeur:

"FUUUUCK YOUUUUU, MOTHERFUCKA'!"

ps: comment répondre à la connerie, à votre avis?
Regardez l'histoire (de France ou du monde en général)...
Réponse : La connerie!
Ce n'est pas brillant non plus dans mon cas mais:
il n'y pas mort d'homme
Quelques personnes seulement l'ont lu

conclusion:

ça sert à rien
mais ça fait du bien...


Tout est dit...

jeudi 25 janvier 2007

Proverbe Africain du soir (2)

" Si vous nagez dans le bonheur, soyez prudent, restez là où vous avez pied "

mercredi 24 janvier 2007

Proverbe Africain du soir

" Qui se leche l'anus est un contortioniste, qui pète plus haut que son cul a de la merde derrière les oreilles "

Droit de réponse

L'intéressé se reconnaitra.

vendredi 12 janvier 2007

samedi 6 janvier 2007

Bonne Année // Happy new year

...hurlait le simple d'esprit à qui voulait l'entendre...