lundi 26 mai 2008
jeudi 15 mai 2008
Noël en mai. C'est un peu le sentiment qu'ont les Toulousains depuis quelques heures, depuis qu'un orage de grêle aussi violent qu'inhabituel s'est abattu sur la Ville Rose.
Peu après 20 heures, l'orage a éclaté sur Toulouse mais aussi l'ouest et le sud-ouest toulousain occasionnant des dégâts qu'il reste encore à évaluer, notamment concernant les cultures.
En quelques minutes à peine, la ville s'est retrouvée recouverte d'un manteau blanc dont l'épaisseur a rapidement gagné en volume. Dans plusieurs rues de Toulouse, les égoûts ne sont pas arrivés à évacuer la pluie, obstrués qui plus est par l'épaisseur de la couche de grêlons, plusieurs centimètres par endroit. Plusieurs artères se sont ainsi retrouvées inondées.
Sur la rocade, des ralentissements et des bouchons se sont formés, notamment au niveau d'un convoi exceptionnel transportant un gros voilier. Dans les autres rues, on roulait au pas.
PELLES ET BALAIS EN BRAS DE CHEMISE
Dès que l'accalmie est revenue, ce sont des Toulousains surpris qui sont sortis sur le pas de leur porte pour constater les conséquences de cet étonnant phénomène climatique. Comme en montagne en décembre, plusieurs d'entre eux, encore en bras de chemise, ont pris pelles et balais pour déblayer le devant de leur porte ou l'entrée des parking des maisons et résidences.
Si les grêlons n'étaient pas parmi les plus gros (voir notre diaporama ci-dessous), la violence de leur chute a occasionné quelques dégâts sur les végétaux. Par exemple au cours Dillon où les arbres ont perdu beaucoup de feuilles... qui sont venues moucheter les voitures stationnées dessous.
Dans certaines rues de Toulouse, l'épaisseur de grêlons a provoqué l'embourbement de voitures qui se trouvaient au mauvais endroit au mauvais moment...
Philippe Rioux-
Peu après 20 heures, l'orage a éclaté sur Toulouse mais aussi l'ouest et le sud-ouest toulousain occasionnant des dégâts qu'il reste encore à évaluer, notamment concernant les cultures.
En quelques minutes à peine, la ville s'est retrouvée recouverte d'un manteau blanc dont l'épaisseur a rapidement gagné en volume. Dans plusieurs rues de Toulouse, les égoûts ne sont pas arrivés à évacuer la pluie, obstrués qui plus est par l'épaisseur de la couche de grêlons, plusieurs centimètres par endroit. Plusieurs artères se sont ainsi retrouvées inondées.
Sur la rocade, des ralentissements et des bouchons se sont formés, notamment au niveau d'un convoi exceptionnel transportant un gros voilier. Dans les autres rues, on roulait au pas.
PELLES ET BALAIS EN BRAS DE CHEMISE
Dès que l'accalmie est revenue, ce sont des Toulousains surpris qui sont sortis sur le pas de leur porte pour constater les conséquences de cet étonnant phénomène climatique. Comme en montagne en décembre, plusieurs d'entre eux, encore en bras de chemise, ont pris pelles et balais pour déblayer le devant de leur porte ou l'entrée des parking des maisons et résidences.
Si les grêlons n'étaient pas parmi les plus gros (voir notre diaporama ci-dessous), la violence de leur chute a occasionné quelques dégâts sur les végétaux. Par exemple au cours Dillon où les arbres ont perdu beaucoup de feuilles... qui sont venues moucheter les voitures stationnées dessous.
Dans certaines rues de Toulouse, l'épaisseur de grêlons a provoqué l'embourbement de voitures qui se trouvaient au mauvais endroit au mauvais moment...
Philippe Rioux-
Où il est question de tristesse...
En réponse à cet article ici
Cher Julien Courbe (aka Rockoh),
Je vous remercie pour votre texte "Experience, une écoute triste".
Outre les compliments à notre égard, j'ai été très touché par votre honnêteté et par le ton très personnel de cette "écoute triste". Et je ne l'ai pas du tout mal pris, bien au contraire.
Cependant, je ne peux m'empêcher de la ramener (comme d'habitude). Cette "écoute triste" à propos de "Nous (en) sommes encore là" n'engage que vous, et c'est tout à votre honneur de l'exprimer. J'ai justement mis en exergue une citation de Vincent (par Maurice) à la fin de notre album, et elle fait totalement sens ici: "Ce sont les autres qui sont tristes". Cette phrase n'est pas qu'une élégante manière de dire "Fuck you", c'est aussi une réalité, finalement, et c'est bien malheureux.
Nous sommes confrontés à cette tristesse quotidiennement (nous vivons dans la vraie vie) et c'est précisément contre cette tristesse que nous nous battons.
Si vous avez quelques jours, nous vous invitons à partager notre van sur quelques concerts, peut-être écouterez-vous cet album différemment après ça.
Amicalement,
Michel.
Cher Julien Courbe (aka Rockoh),
Je vous remercie pour votre texte "Experience, une écoute triste".
Outre les compliments à notre égard, j'ai été très touché par votre honnêteté et par le ton très personnel de cette "écoute triste". Et je ne l'ai pas du tout mal pris, bien au contraire.
Cependant, je ne peux m'empêcher de la ramener (comme d'habitude). Cette "écoute triste" à propos de "Nous (en) sommes encore là" n'engage que vous, et c'est tout à votre honneur de l'exprimer. J'ai justement mis en exergue une citation de Vincent (par Maurice) à la fin de notre album, et elle fait totalement sens ici: "Ce sont les autres qui sont tristes". Cette phrase n'est pas qu'une élégante manière de dire "Fuck you", c'est aussi une réalité, finalement, et c'est bien malheureux.
Nous sommes confrontés à cette tristesse quotidiennement (nous vivons dans la vraie vie) et c'est précisément contre cette tristesse que nous nous battons.
Si vous avez quelques jours, nous vous invitons à partager notre van sur quelques concerts, peut-être écouterez-vous cet album différemment après ça.
Amicalement,
Michel.
mardi 13 mai 2008
nous (en) sommes encore là #1
L'album est sorti officiellement lundi dernier après quelques mésaventures dues à une fabrication défectueuse.
Période épuisante, riche en prises de tête, en stress, ya basta, on n'en parle plus.
Retour sur les premiers concerts:
29/04 Paris, point FMR, deuxième date en trio, tout part bien et se casse un peu la gueule à cause de problèmes techniques mystérieux qui font disparaître d'abord la basse puis surtout ma guitare, bzzz, je ne sais toujours pas pourquoi ni comment.
ça n'empêche, on est là et on est contents, on va pas se laisser emmerder par la technique.
Psykick Lyrikah a fait un très bon set, très carré, quand on monte sur scène, ça explose, et puis ça pète, un château de carte un jour de tempête. Heureusement on termine par "La république invisible" avec ARM, heureusement le public est extra (surtout extra-compréhensif). Une bonne soirée où on peut squatter tranquillement les loges bien tard après le concert, comme en Espagne, rare à Paris.
On devait partir jeudi pour de la promo et une white session chez Lenoir mais la grêve possible du service public nous oblige à la reporter.
La semaine prochaine peut-être, avant St Étienne, ou celle d'après avant Santander.
En attendant il fait beau et on a plein de trucs à faire.
Ps: Il y a encore des gens qui ne comprennent pas que quand je dis "remuez-vous bande de veaux" au public, c'est de l'humour.
C'est dommage.
Période épuisante, riche en prises de tête, en stress, ya basta, on n'en parle plus.
Retour sur les premiers concerts:
29/04 Paris, point FMR, deuxième date en trio, tout part bien et se casse un peu la gueule à cause de problèmes techniques mystérieux qui font disparaître d'abord la basse puis surtout ma guitare, bzzz, je ne sais toujours pas pourquoi ni comment.
ça n'empêche, on est là et on est contents, on va pas se laisser emmerder par la technique.
Psykick Lyrikah a fait un très bon set, très carré, quand on monte sur scène, ça explose, et puis ça pète, un château de carte un jour de tempête. Heureusement on termine par "La république invisible" avec ARM, heureusement le public est extra (surtout extra-compréhensif). Une bonne soirée où on peut squatter tranquillement les loges bien tard après le concert, comme en Espagne, rare à Paris.
Les photos de David Didier ici.
03/05 Macon, La cave à Musique, très bon set de Spoke Orkestra, mecs très sympas, par contre, le soucis, c'est que c'est un peu vide, la ville semble déserte, premier week-end de soleil depuis un certain temps, dans la salle, c'est comme dans la ville, on trouve facilement des places pour stationner; C'est pas grave, ça nous est déjà arrivé, on est là et on a envie de jouer, merde presque 600 bornes de Toulouse, on va pas se mettre à genou ni à pleurer: on fonce. Là, évidemment tout fonctionne bien techniquement, on transpire, on s'amuse, ça gueule et c'est bien fort pour si peu de monde, ceux qui étaient là ont du s'en rappeler au moins pendant deux jours de ce concert. On est désolés pour l'équipe du lieu, ils nous ont bien reçus, on a fait ce qu'on a pu et on s'en est très bien sortis.
06/05 Toulouse, Le bikini, Ddamage tabasse dès 20h30, c'est cool, on dirait que la soirée commence par un after.
Avant ça, on a mangé les entrecôtes d'Hervé, on a retrouvé le Bikini comme on le connaissait.
Avant ça, on a fait une longue balance avec nos invités, et déjà, c'était un peu la fête qui commençait.
Arnaud a fait un très bon set, je n'ai pas pu tout voir mais je sais que ça a fonctionné, on s'est bien amusés aussi, d'une autre manière, bien qu'un peu crevés par la vie de ces dernières semaines. Puis sont venus les guests (Mary Jane étant plutôt une résidente intermittente d'EXP), rappel avec Arm qui a fait un titre à lui en intro, puis à nouveau "La république invisible", encore meilleure qu'à Paris, et enfin un titre avec Arnaud bossé pour l'occasion avec aussi R au synthé, qui semble émouvoir certaines personnes, on était pas émus, juste contents, enfin ça faisait un peu bizarre mais en même temps c'était très naturel.
Et pour finir, "La vérité" dans ta gueule.
Et puis après avec plein de copains, une bonne soirée à la maison en somme avec une très belle affiche, à renouveler le plus souvent possible, por favor.
06/05 Toulouse, Le bikini, Ddamage tabasse dès 20h30, c'est cool, on dirait que la soirée commence par un after.
Avant ça, on a mangé les entrecôtes d'Hervé, on a retrouvé le Bikini comme on le connaissait.
Avant ça, on a fait une longue balance avec nos invités, et déjà, c'était un peu la fête qui commençait.
Arnaud a fait un très bon set, je n'ai pas pu tout voir mais je sais que ça a fonctionné, on s'est bien amusés aussi, d'une autre manière, bien qu'un peu crevés par la vie de ces dernières semaines. Puis sont venus les guests (Mary Jane étant plutôt une résidente intermittente d'EXP), rappel avec Arm qui a fait un titre à lui en intro, puis à nouveau "La république invisible", encore meilleure qu'à Paris, et enfin un titre avec Arnaud bossé pour l'occasion avec aussi R au synthé, qui semble émouvoir certaines personnes, on était pas émus, juste contents, enfin ça faisait un peu bizarre mais en même temps c'était très naturel.
Et pour finir, "La vérité" dans ta gueule.
Et puis après avec plein de copains, une bonne soirée à la maison en somme avec une très belle affiche, à renouveler le plus souvent possible, por favor.
(photos par Sad Eyed Lady)
Pour l'instant tout se passe bien, nous sommes très contents, l'album est plutôt bien accueilli, on dirait même qu'il y a des gens qui l'achètent.
On devait partir jeudi pour de la promo et une white session chez Lenoir mais la grêve possible du service public nous oblige à la reporter.
La semaine prochaine peut-être, avant St Étienne, ou celle d'après avant Santander.
En attendant il fait beau et on a plein de trucs à faire.
Ps: Il y a encore des gens qui ne comprennent pas que quand je dis "remuez-vous bande de veaux" au public, c'est de l'humour.
C'est dommage.
lundi 5 mai 2008
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